• Les rédactions

    ***

            Vous pouvez ici lire les rédactions du type Dora Bruder rédigées par les élèves de 3ème1.

              Bonne lecture !

    ***

  • (Cela s'est passée le 14 Mars 1943 à Paris en pleine occupation allemande. André Rogerie, grand résistant français va vivre une journée particulière lors de sont arrestation par la Gestapo)

     

             Alors que, je sortais de mon domicile, un homme m’asséna un coup de poing violent tant dis qu'un autre homme me pris les poignets pour me maîtriser. Je tentais en vain de me débattre mais sans grand succès. Les deux hommes me jetèrent avec violence à l'intérieur d'un véhicule. Le chauffeur démarra à toute vitesse vers une destination inconnue de moi. Un des hommes me mit un sac sur ma tête. De ce fait, il mettait impossible par conséquent de repérer l'itinéraire. Mes agresseurs ainsi que le chauffeur, conversaient en Allemand dont je ne comprenais un seul mot. Puis tout d'un coup, la voiture freina violemment, le policier me prit par le bras et me tira hors de la voiture. Il m'enleva la capuche et je vis un grand bâtiment qui était le siège de la Gestapo. Je compris alors que j'allai être interrogé... 

            Je me souviendrai toute ma vie de ces quatre heures de tortures... Ils m'emmenèrent au sous-sol dans une pièce exiguë et sombre. Ils me ligotèrent les bras derrière le dos, ils m'accrochèrent les pieds aux pieds de la chaise. Ils me demandèrent de décliné mon identité. Mais pour rien au monde je leurs divulguerai sur la Résistante.

    -"Où se situe votre réseau de Résistance ?

    -Mais quel réseau lui répondis-je ? 

    -N'essayé pas de me prendre pour un imbécile ! 

    -Mais je ne sais rien de tout cela je vis avec ma famille, je travail dans la mesure du possible, j'ai des loisirs avec mes amis.

    -Quels loisirs me questionna l'agent de la Gestapo.

    -Chaque soirs je vais chez mon ami Michel avec Pierre et Jeanne pour une partie de cartes.

    -Je vous ai entre vue un soir après le couvre feu en plus ! Avec une pochette sous la main remplie de carte à jouer peut-être ? 

    -Je pense que vous faites erreur c'est un malentendu."

     

           L'agent commença à perdre patience et haussa le ton: "maintenant je vais vous dire qui vous êtes réellement, votre nom dans la Résistance est Paul Dupont, vous êtes muni de faux papiers. Par conséquent, comme vous ne voulez pas coopérer nous allons vous y obliger."

          Tout à coup un homme entra dans la pièce avec des instruments de torture dans les mains, couteau, barre de fer et un pistolet. L'homme a détacher mes mains et ma dit de les poser à plat sur la table. Puis d'un coup, je n'avais pas mal car mes amis Résistants, ma famille me donnaient la force de ne rien dire. Le SS étant lassé reporta l’interrogatoire à demain. Ils m’emmenèrent dans une cellule isolée où l'état de celle ci était un piteuse état, je pensais déjà à m'évader.

         Je m'aperçue immédiatement qu'un des barreaux de la fenêtre était mal accroché. Malheureusement, je ne pouvais pas tirer dessus car je ne sentais plus mes mains mais mon compagnon de cellule, un homme étant aussi entré dans la Résistance m'aida à tirer sur le barreau. D'un coup, le barreau tomba dans la cellule, nous avions juste la place pour nous faufiler entre la fenêtre et les barreaux mais la cellule était au troisième étage donc nous ne pouvions pas sauter au risque de nous briser les jambes. Heureusement, il y avait une gouttière sur le côté gauche de la fenêtre, nous sommes descendu à vive allure et nous nous sommes cachés la nuit dans les égouts de Paris avec pour seuls compagnons les rats pour ne pas être repérés par la Gestapo.

        Après cette terrible journée avec la violence et la tristesse de mon interrogation, la chance était avec moi tout au long de cette interminable vingt-quatre heures. Je pense que je devrai me faire oublier quelques jours en essayant de passer la ligne démarcation. 

       Ps: Je me suis mis dans la peau d'Andrée Rogerie qui, en réalité à été interné, dans sept camps de concentration. De nombreux autres écrivains confrontés à la Gestapo ont témoignés.

    M. Meziani, 3ème 1

     


    votre commentaire
  •  

     

    Paris, jeudi 4 novembre 1943. La guerre dure depuis quatre longues années et les allemands ont envahi la France. En ce jour d’hiver, le temps triste et glacial renforce ce sentiment de désespoir ressenti par tous les français patriotes qui souhaitent libérer la France. Dans un bel immeuble haussmannien, au numéro quatre de la rue de Rivoli, dans le quatrième arrondissement, au 3ème étage, Francine vit seule avec ses deux enfants, Claudius six ans et Marius huit ans. Le père, Louis, participe au sabotage d’un réseau de résistants clandestins.

    Je vais imaginer le quotidien ordinaire de cette famille parisienne sous l’Occupation.

    rédaction : vie quotidienne d'une famille parisienne en 1943

    Carte de la France sous l’Occupation allemande

    Il est sept heures du matin, les enfants dorment paisiblement et Francine se lève, transie de froid. Elle ne travaille pas à l’usine de textile le jeudi pour s’occuper de ses enfants. Elle regarde tristement sa maigre réserve de charbon tout en allumant le petit poêle et pense aux difficultés qui l’attendent pour se réapprovisionner. Après une brève toilette et un bol de chicorée bu à la hâte, elle prend les tickets de rationnement qu’elle est allée chercher à la mairie la veille et sort faire ses courses.

    Francine patiente d’interminables minutes dans la longue file d’attente qui se dessine devant elle. Elle aperçoit deux jeunes femmes avec une étoile jaune sur le revers de leurs manteaux. Quelle horreur, ces lois discriminatoires, imposées par le régime de Vichy! Après avoir rempli son panier de quelques bouchées de pain, d’une maigre portion de beurre et d’un pauvre sac de farine, elle se dirige avenue de l’Opéra, chez son amie Georgette.

    Elle la trouve effondrée sur une chaise, en pleurs, un mouchoir à la main. Un ami de son fils Edouard est venu la prévenir qu’il a été arrêté cette nuit par la gestapo. Francine la console comme elle peut. Elle consulte le journal clandestin « la voix populaire » et, ensemble, elles allument la radio, cachée au fond de la commode, pour écouter radio Londres. Mais ce matin, en raison de la mauvaise liaison et du volume très bas que leur impose la prudence, les messages sont inaudibles. A chaque fois que Georgette allume la radio, Francine peut lire dans ses yeux cette flamme qui réchauffe le cœur de chaque résistant patriote français et qui les pousse à œuvrer toujours plus pour leur pays.

    rédaction : vie quotidienne d'une famille parisienne en 1943

    Ticket de rationnement

    De retour chez elle, encore apeurée après voir croisé un escadron allemand, elle prépare le frugal repas, des rutabagas et un peu de lait sucré pour les enfants. Marius a encore faim et réclame du chocolat. C’est le cœur lourd que sa mère lui répond qu’elle n’en a pas trouvé. Il est difficile d’expliquer la pénurie aux enfants… Autour de la table, Claudius et Marius, qui n’ont pas école, décident de jouer aux petits chevaux et au jeu de l’oie. Les occupations se font rares, pour les enfants, en temps de guerre ! Francine s’installe à côté d’eux et prend son tricot. Elle confectionne des écharpes et des chaussettes qu’elle portera à la Croix Rouge pour les soldats blessés. Perdue dans ses pensées, elle sent la petite main de Claudius sur son épaule. Il réclame son papa. Depuis trois mois, Francine n’a aucune nouvelle de son mari, mais tente de rassurer son fils en lui cachant la vérité. Les longues heures monotones s’étirent, il va bientôt falloir préparer la soupe.

    rédaction : vie quotidienne d'une famille parisienne en 1943

    Défilé allemand sous l’Occupation

    Après le repas, les enfants doivent vite aller se coucher. Ils se lèvent tôt pour aller à l’école le lendemain. Mais avant de s’endormir, Francine leur lit un conte d’Andersen. Puis, à la lumière de la lampe à pétrole, elle poursuit son tricot. L’immeuble est silencieux. Dehors, la rue de Rivoli est sombre et déserte. C’est le couvre-feu imposé par l’ennemi allemand  cette année.

    Francine est à peine endormie que retentit l’alarme. Quel horrible son strident qui annonce un bombardement imminent! Il faut descendre en urgence dans la cave. Vite, elle réveille ses enfants, attrape des bougies, des allumettes et des couvertures, se précipite sur le palier et dévale les escaliers déjà encombrés par les voisins.

    Dans la cave, l’odeur de moisi est insoutenable. Le vieux couple du rez-de chaussée est déjà installé sur des cartons, l’air résigné. La cave se remplit et tout le monde se tait, terrorisé. A la faible lueur des bougies, on peut distinguer les traits crispés par l’angoisse, les regards apeurés et les mains tremblantes.

    rédaction : vie quotidienne d'une famille parisienne en 1943

    Immeubles effondrés après une attaque aérienne

    Une nuit interminable commence. Francine sert ses deux enfants endormis contre elle et laisse son imagination vagabonder pour échapper aux murs de la cave qui ressemblent à une prison. Elle se souvient des bons petits plats que confectionnait sa mère dans son enfance. Elle se souvient aussi de ce poème de Victor Hugo appris au collège : «ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent» et particulièrement de ce vers : «car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre». Oui ! Elle pourra enfin vivre avec son mari et ses enfants, une fois la paix revenue. Elle les verra grandir, ensemble, ils se tourneront vers l’avenir avec espérance.

    Des larmes coulent sur ses joues, mais pourtant, elle sourit. Elle espère de tout cœur le retour de la paix pour la France et pour le monde.

     

    S. GRIOT, 7 mai 2015


    votre commentaire
  •  

    Mathilde

     

    Photo extraite d'un album souvenirs rédigé par mon arrière arrière grand-mère Jeanne Lesenfans, née en 1903 et décédée en 1996.

     La famille LESENFANS au jardin du Luxembourg en 1942

    de gauche à droite : Françoise la narratrice 15 ans; Jeanne la mère de Françoise, 40 ans; Alexandre le mère de Françoise, 54 ans; Anne-Marie (Annie), 2 ans et Jean-Claude le frère de Françoise, 17 ans.

     

     

    Dimanche 10 avril 1943

     

      Je me réveille et ce matin mes premiers mots sont pour ma petite soeur Anne-Marie, que nous appelons Annie, car aujourd'hui elle fête ses deux ans.

     Nous mettons nos vêtements du dimanche et nous nous rendons, mon père Alexandre, mon grand frère Jean-Claude, Annie et moi-même, à l'église Saint Paul Saint Louis qui est à seulement deux minutes du boulevard Bourdon où nous vivons. Maman nous y retrouvera. Elle est partie tôt ce matin, elle a fait la queue devant l'épicerie avant même l'ouverture, car si elle arrive plus tard, il n'y aura plus de denrées. Il est vrai que ces cerniers temps les ravitaillements sont rares et nous manquons parfois de nourriture. Je vois bien que cela préoccupe maman. Quand nous la rejoignons devant l'église, son visage est apaisé, elle a donc pu acheter à manger pour nous tous, et ça c'est une bonne nouvelle.

     En rentrant chez nous, nous trouvons du courrier dans la boite aux lettres. C'est Edouard Aerts, le mari de tante Marguerite, qui nous écrit. Le pauvre il est en Allemagne et il y travaille depuis presque trois ans maintenant car c'est un prisonner de guerre. Heureusement il est en bonne santé et il garde espoir. C'est ce que j'apprécie chez lui, il a toujours le maoral. Je devrais plutôt dire "ce que j'appréciais chez lui" car la dernière fois que je l'ai vu, je n'avais que douze ans et c'était avant la guerre.

     Maman prépare un gateau pour l'anniversaire d'Annie. Elle ne met pas de beurre, c'est trop précieux et nos cartes de ravitaillement ne nous en donnent que trop peu, nous ne pouvons pas nous permettre de le gâcher. A la place du beurre elle met des oeufs. J'observe qu'elle change discrètement les proportions.

     A midi, nous nous mettons à table. Que c'est agréable d'être réunis en famille! Nous parlons, rions et le repas se passe dans la bonne humeur. Quand arrive le dessert, Annie souffle ses bougies, puis nous mangeons le gateau. Il n'est pas très bon, il est sec. Ce n'est pas grave, maman y a mis tout son coeur et toute la famille est joyeuse.

     Aujourd'hui le ciel est clair, papa propose d'aller faire une promenade au jardin du Luxembourg. Pour cette promenade printannière, maman choisit son plus beau chapeau et nous sortons.

     Après avoir tourné à droite sur la rue Mornay, nous bifurquons sur la rue Sully. Puis nous empruntons le boulevard Henri IV, nous croisons beaucoup de soldats allemands en uniforme, ce n'est pas étonnant, la garde nationale est à quelques pas de là. A la vue des soldats, les visages de mes parents se crispent et ils nous demandent anxieusement de presser l'allure. Certains soldats allemands sont jeunes, ils me paraissent presque plus jeunes que Jean-Claude. Nous continuons notre promenade en passant sur le pont Sully juste au-dessus de l'île Saint Louis. Enfin, après plusieurs minutes de marche rive gauche, nous arrivons boulevard Saint-Michel et entrons dans le jardin du Luxembourg par le portail du même nom. Nous continuons tout droit et arrivons sur le pavillon de la fontaine Paris.

     Avec les beaux jours qui arrivent, les fontaines ont été remises en marche. Je fais descendre Annie de son landeau et elle s'amuse à courir après les pigeons. Elle rit, elle rit, je ne l'ai jamais vue aussi heureuse. Progressivement ce sentiment de joie emplit mon coeur. Je joue avec elle pendant que nous marchons dans les allées du parc. Au moment de quitter le jardin, papa nous propose d'immortaliser cet instant. Tout le monde, même Annie qui est en train de boire au biberon, sourit.

     Puis vers six heures, maman nous dit qu'il faut rentrer. Nous ne sommes qu'au début du printemps et la nuit tombe enxore assez tôt. Il ne faut pas que nous rentrions après le couvre-feu.

     Annie remonte dans son landeau et nous quittons, non sans regrets, le jardin du Luxembourg. Nous empruntons le même chemin qu'à l'aller. Je suis absorbée dans mes pensées, quand au loin le visage d'un homme m'interpelle. Il discute de façon animée avec deux soldats allemands. De sa main droite il sort un papier de sa poche qu'il tend aux soldtats. Je vois sa main gauche faire un mouvement nerveux.

     A nouveau je regarde le visage de l'homme et je le reconnais. C'est mon parrain, Marc Jacob, un ami avec qui mon père a fait la première guerre mondiale. Nous nous avançons vers les trois hommes. Puis je comprends que les soldats ont pris mon parrain pour un juif et lui ont reproché de ne pas porter d'étoile. Après que mon parrain a prouvé qu'il n'a pas d'ascendant juif, les soldats le laissent partir. Chemin faisant, Mr Jacob, c'est comme ça que j'ai l'habitude de l'appeler, nous dit que ce n'est pas la première fois que lors d'un contrôle de routine des soldats allemands le prennent pour un juif en raison de son patronyme. Mr Jacob nous donne des nouvelles de sa famille et nous échangeons sur l'autres sujets plus légers.

     Quand nous arrivons boulevard Bourdon, là où notre promenade s'achève, le soleil est bas à l'horizon. La nuit ne va pas tarder à tomber er il est temps de rentrer.

     Cette journée heureuse restera à jamais gravée dans mon coeur. Et même si ce ne sont que quelques heures de bonheur et d'insouciance, ces précieux instants m'ont permis d'oublier la guerre.


    votre commentaire
  • Je me souviens, c'était en 1943, en fin d'après-midi, j'avais 4 ans, c'était pendant l'occupation allemande de Paris. Maman et moi revenions de chez ma tante Mado, la sœur de ma maman. Elle habitait rue de Cérisoles dans le 13ème arrondissement. Nous nous dirigions vers le métro à la station Marbeuf (ligne 1). Au moment de descendre l'escalier dans le métro, maman me prend par la main, alors s'approche de nous un officier allemand qui propose à maman de nous aider à descendre sur le quai. Soudain, je donne un coup de pieds dans la botte gauche de l'officier. Ce dernier sourit et dit en français : << Ce n'est pas grave, je comprends. >>. Il avait dû comprendre que je le repoussait et s'en alla. En sortant du métro, nous croisions une jeune femme accompagnée de 2 enfants, il avaient tous une étoile jaune à 6 branches cousue sur leur vêtement côté gauche à la hauteur du cœur. Plus tard , ma mère m'expliqua. Nous rentrâmes et nous nous couchâmes. Je me rappelle du son des sirènes en pleine nuit. Pour moi, ces sirènes étaient bon signe et j'étais contente car lorsqu'il y avait les sirènes, nous descendions, papa, maman, Martine et moi à la cave et je pouvais manger du chocolat. Je me souviens encore de ma mère qui donnait le biberon à Martine pour qu'elle arrête de pleurer et de papa qui me contait des histoires pour me rassurer. Mais je n'avais pas peur, j'étais trop jeune pour comprendre la situation. Je ne me rappelle plus les histoires qu'il me racontait mais je me souviendrais toujours de ces moments passés à la cave. Témoignage et lettres de ma grand-mère.


  • Mrs Olive Day se lève vers les 7h du matin, sur sa table de nuit se trouve un terrible masque a gaz,une lampe torche ,et un livre en cas ou il lui faille se réfugier dans un abri anti-aérien pour éviter les bombes pendant la nuit.Mrs day vit avec son mari Mr Kenneth Day dans une maison de 4 étage dans le quartier de South Kensington proche du centre de Londres nul doute que la vie devait être légèrement différente pour des famille vivant dans des quartier plus modestes étant plus éloigné du centre Londres
    Mrs Olive Day ouvre ses rideaux, la fenêtre a été casser par un raid aérien et pour faire face, remplacée par un tissu en lain.Son chat Little one la regarde depuis le lit qui n'est vraiment qu'un matelas
    Mrs Olive va ensuite chercher le lait et son journal "News Of The World" poses en haut des escaliers qui emmènent vers son sous sol.Il y avait des seaux qui contenait du sable et de l'eau qui étaient fournis en cas de bombe incendiaire
    Mrs Olive day boit son thé avec son journal dans son salon plusieurs vitres des fenêtre ont été casse par une bombe, les autres sont recouverte de scotch pour éviter les éclats.Ensuite elle devra faire le ménage pendant 30min mais avant elle commence par secouer son plumeau a la fenêtre, des plaque d'amiantes ont été poser sur le sol pour réduire le risque d'incendie du aux bombes incendiaires.Elle constates plusieurs trous dans la plafond par lequel une bombe incendiaire est recemment passer dans certains cas le sol a brule avant que le feu ne puisse être contenu.Olive nettoie aussi le foyer de la cheminée pour réutiliser le charbon  restant elle fait son lit qui a été déplacer au rez de chausser car l étage est trop dangereux.
    Mrs olive Day fait aussi son lit de camp placer dans son sous sol dans lequel, elle ira dormir en cas d'alarme de raid aérien, elle va enfin trier ses déchets
      Après Mrs Day va faire ses courses hebdo elle passe devant un magasin et regarde dans la vitrine,décide d'y entrer et achète le nécessaire. L épicier tamponne le carnet de rationnement de Mrs Day elle remarque qu'il y a seulement du thé, du sucre , de la margarine ,du lard et du bacon qui lui sont alloues pour la semaine.
    Quelque heures après elle monte dans un bus qui l’emmène au travail. elle travaille comme secrétaire dans 'une organisation reliée a la guerre'. Mrs day est au bureau toute la semaine de 10h a 18h sans relâche elle na que le samedi après midi et le dimanche pour se reposer.
    Enfin rentrer chez elle prépare son diner pour 2 ce soir la son mari est en permission pendant que le diner cuit,elle réalise des travaux de couture. Enfin réuni la famille Day discute autour d'un fabuleux diner qui est rare en c'est temps de guerre.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique